Daniel
Pennac, en se plaçant tour à tour dans la peau du père, du fils et du
professeur, porte un regard critique sur les arguments généralement avancés par
les parents et les enseignants pour expliquer le prétendu désintérêt des jeunes
pour la lecture. Selon ces cassandres, ce serait pêle-mêle la faute de la
télévision, des jeux électroniques, du système scolaire, des maîtres, de la
vétusté des locaux, du budget dérisoire du ministère de la culture, etc. S’il y a
bien un essai qui ne devrait pas faire l’objet d’une critique littéraire, c’est
Comme un roman, de Daniel Pennac. Le professeur de lettres et écrivain y
affirme en effet que «les livres n'ont pas été écrits pour que mon fils, ma
fille, la jeunesse les commentent, mais pour que, si le cœur leur en dit, ils
les lisent.»
Référence :
http://www.e-litterature.net/
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